CDF: Le match de quart de final entre le PSG et Nice décalé à cause d’Hervé Renard?

par

Hervé Renard en conférence de presse suite à la double confrontation face à la Norvège
Hervé Renard © SAMI BELLOUMI

Pourquoi le quart de finale PSG – Nice a-t-il été décalé au 13 Mars ?

Alors que les amateurs de football attendaient avec impatience les quarts de finale de la Coupe de France, une annonce a semé le trouble : la rencontre opposant le Paris Saint-Germain à l’OGC Nice a été repoussée au mercredi 13 mars, dérogeant ainsi au calendrier initial.

À l’heure où les autres équipes s’affrontent vaillamment entre le mardi 27 et le jeudi 29 février, le match entre le Paris Saint-Germain et l’OGC Nice se voit relégué à une date ultérieure. Cette décision, en apparence anodine, cache en réalité une série de considérations complexes.

Le choix de repousser cette rencontre découle en grande partie de l’agenda chargé des équipes engagées dans différentes compétitions. En effet, la présence de l’équipe de France féminine en finale de la Ligue des nations a bouleversé les plans initiaux. Les impératifs de repos entre les matchs et les contraintes liées aux autres compétitions ont contraint les instances dirigeantes à opérer des ajustements de calendrier.

Une programmation sur-mesure

La Fédération française de football, en charge de l’organisation de la Coupe de France, a justifié ce report comme une nécessité visant à concilier plusieurs impératifs. D’une part, il s’agit de garantir la compétitivité des clubs français engagés sur la scène européenne (PSG en Ligue des Champions). D’autre part, il est question de préserver la visibilité de l’équipe de France féminine ainsi que celle de la Coupe de France. Dans cette optique, le choix du mercredi 13 mars s’est imposé comme une solution adéquate, offrant un intervalle libre dans le calendrier parisien en milieu de semaine.

La recherche d’une date appropriée pour ce choc entre deux équipes de haut niveau n’a pas été sans embûches. En effet, la contrainte des diffuseurs télévisuels a également pesé dans la balance. France Télévisions, co-diffuseur de la compétition, a exercé son droit de premier choix dans la programmation, souhaitant éviter tout conflit avec la retransmission d’un match de l’équipe de France féminine en Ligue des nations. Cette contrainte supplémentaire a contraint les organisateurs à jongler avec les agendas pour trouver un créneau compatible avec toutes les parties prenantes.