La réponse cinglante du Stade Rennais contre Nemanja Matić

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La réponse cinglante du Stade Rennais contre Nemanja Matić
Nemanja MATIC ( 21 – Rennes ) ©IMAGO / PanoramiC

Le bras de fer entre le Stade Rennais et Nemanja Matić

Dans un récent épisode de tensions au sein du Stade Rennais, une guerre ouverte s’est déclarée entre le club et Nemanja Matić. L’absence répétée du joueur aux séances d’entraînement a conduit à son départ soudain de Rennes, suscitant des interrogations au sein du club.

Le départ précipité de Nemanja Matić

Nemanja Matić, arrivé au Stade Rennais seulement cet été, a manifesté son désir de quitter le club. Les raisons invoquées concernent le bien-être de sa famille, notamment les difficultés scolaires de ses enfants. Son départ a été précipité, marqué par son apparition à la gare, attendant son train, laissant derrière lui un club perplexe et une direction agacée.

Selon les informations provenant de Ouest-France et confirmées par RMC, Nemanja Matić aurait déjà trouvé un accord avec l’Olympique Lyonnais. Une offre légèrement supérieure à 2 millions d’euros aurait été proposée, mais elle a été rejetée par le Stade Rennais, alimentant ainsi la frustration du joueur âgé de 35 ans.

La réponse cinglante du Stade Rennais

Face à l’attitude de Matić, le Stade Rennais a réagi de manière cinglante. Dans un communiqué officiel, le club a exprimé son incompréhension totale face au comportement du milieu de terrain expérimenté.

Le club a souligné son engagement envers le bien-être de ses joueurs, affirmant avoir pris toutes les mesures nécessaires pour faciliter l’intégration de Matić et de son entourage. Le Stade Rennais reste maintenant en attente d’explications de la part du joueur et se dit déterminé à prendre toutes les mesures nécessaires pour préserver ses intérêts. Le feuilleton entre le Stade Rennais et Nemanja Matić est loin d’être terminé.

Cependant, le SRFC a commencé déjà à explorer des pistes au cas du départ définitif de Matic. Parmi les noms qui sortent du lot en trouve le jeune Rémois Amir Richardson.