Le FC Porto entre dans la danse avec l’AS Monaco pour recruter le talent brestois Lilian Brassier

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Lilian Brassier ©️IMAGO / PanoramiC
Lilian Brassier ©️IMAGO / PanoramiC

Qui remportera la bataille entre Monaco et Porto pour le défenseur central du Stade Brestois Lilian Brassier?

En ce mois de janvier, le talentueux défenseur central du Stade Brestois, Lilian Brassier, est devenu une valeur sûre de la Ligue 1, attirant l’attention de deux clubs importants : l’AS Monaco et le FC Porto. Le Français de 24 ans, actuellement sous contrat avec Brest jusqu’à l’été 2025, semble sur le point de faire l’objet d’un transfert qui pourrait remodeler sa carrière.

L’AS Monaco, malgré sa troisième place au classement de la Ligue 1, a connu des difficultés défensives cette saison. Afin de renforcer son arrière-garde, le club de la Principauté étudie activement la possibilité de faire venir Brassier. Cependant, des rapports suggèrent que Monaco envisage également d’autres options pour renforcer sa ligne défensive.

Le FC Porto est entré dans la danse et a exprimé son intérêt pour Brassier. Le club portugais se serait renseigné et envisagerait de soumettre une offre à Brest. Ce développement a intensifié les spéculations autour de l’avenir de Brassier, alors que Monaco et Porto se disputent le défenseur très apprécié.

Brest sera-t-il contraint de vendre ?

Bien que Brassier ait joué un rôle essentiel dans les succès de Brest au cours de la première moitié de la saison, il semble de plus en plus improbable qu’il aille jusqu’au bout de son contrat avec le club de Ligue 1. L’attrait de jouer pour un club en lice pour les honneurs nationaux et internationaux pourrait s’avérer trop tentant pour le talentueux défenseur central.

Brest, de son côté, se trouve dans une situation délicate. Le club est à juste titre réticent à se séparer de Brassier, compte tenu de sa contribution significative à la campagne victorieuse qu’il a menée jusqu’à présent. Cependant, les réalités financières et la possibilité d’une guerre des enchères pourraient faire qu’il soit difficile pour Brest de résister à des offres dépassant les 10 millions d’euros.