OM : Quel coach après Anigo?

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Elie Baup démis de ses fonctions, c’est José Anigo qui assure l’intérim à l’OM jusqu’à la trêve. Mais que se passera-t-il après? Quel entraineur remplacera le directeur sportif à son poste actuel? Anigo finira-t-il la saison sur le banc de touche? Plein de question sont en suspens et la presse tricolore tente d’apporter des solution.

Plusieurs coachs français sont par ailleurs annoncé sur la Canebière et le plus souvent cité serait Frédéric Antonetti. La Provence en aurait même fait son favori, comme un certain consultant de Canal +. « J’ai envoyé un texto à Antonetti pour lui dire ‘t’as trois semaines pour faire tes valises’, il m’a répondu que j’étais mieux informé que lui. Pour ce qu’on en sait, il n’y a aucun contact entre Antonetti et l’OM à l’heure actuelle. Mais je ne dis pas que ça ne va pas se faire dans le courant du mois de décembre  » a confié Pierre Ménès.

Néanmoins, l’ancien coach de Rennes ne serait pas la seule piste étudiée par les marseillais puisque, toujours d’après La Provence, d’autres profils de techniciens français seraient étudiés. On trouverait notamment sur les tablettes phocéennes les noms de Jean Tigana, Alain Boghossian , Eric Roy ou encore Paul Le Guen !

Si les pistes tricolores ne manquent donc pas, n’oublions pas qu’un entraineur étranger pourrait également débarquer et pourquoi pas un retour d’Eric Gerets, actuellement en poste au Qatar à Lekhwiya ou encore de l’ancien attaquant olympien, Fabrizio Ravanelli, récemment limogé d’Ajaccio.

« Je suis très content que mon nom soit à côté de ceux des autres pour entraîner l’OM. Pour moi, l’OM représente quelque chose de grand. Mon 2 ème fils est né à Marseille. Par contre, je n’ai pas encore eu de nouvelles pour ça. Mais je dois dire que j’aimerais bien entraîner l’OM. C’est mon rêve. Je travaille pour m’améliorer. Mais si ce n’est pas Marseille, ce sera un autre club pour démontrer ma valeur  » a par ailleurs affirmé l’italien à RMC.

Pierre Ménès voit même plus grand en évoquant le nom d’un ancien sélectionneur, même si un gros point noir vient noircir le tableau en cette période de restriction budgétaire : « Tu peux prendre aussi un entraineur étranger. Un mec comme Bielsa est libre, mais ce n’est pas le même tarif. »

Si les noms ne manquent pas donc pour remplacer Elie Baup, laissons toutefois le temps à José Anigo d’agir puisqu’en cas de bons résultats, il pourrait tout simplement être « l’homme de la situation ».
Affaire à suivre…