Europa quoi ? EU-RO-PA LEAGUE ! Mais si, cette compétition du jeudi soir diffusée sur W9… Les-Transferts vous dévoilent la vérité sur cette Coupe. Attention, une fois que vous l’aurez lue, il n’y a aucun retour en arrière possible !
Les clubs français n’y font rien
Cette compétition n’a jamais été remportée par une écurie française. La dernière finale d’un pensionnaire de Ligue 1 remonte à 2004. L’OM de Drogba, Barthez et Beya avait échoué face à Valence. Depuis, plus rien. L’année dernière, on a cru que Lyon pouvait aller au bout, mais la Juventus a finalement éliminé les Gones en quarts. Et cette année ? Guingamp était notre plus grand espoir de réussite. No comment…
Des affiches en bois
Même les passionnés de foot ont du mal à se dire : « tiens un petit Aalborg-Bruges ce soir, je réserve ma soirée ! » Pourtant, c’est bien une affiche de 16ème de finale. En 1/4, on a droit à Bruges-Dnipropretrovsk ou Dynamo Kiev-Fiorentina (source : l’Equipe.fr). Pas très sexy. Malgré quelques belles affiches, on a souvent droit à des matchs de ce type :
1 jour après la Ligue des Champions
Placée le jeudi soir, l’Europa League arrive juste après la Ligue des Champions. Pas forcément avantageux lorsque la compétition de la veille offre une intensité exceptionnelle avec les meilleurs joueurs du monde. Certains matchs, aussi rythmés qu’un Evian-Lens, ont du mal à faire changer l’image de cette coupe.
Les clubs français ne veulent pas la jouer
Comment être motivé lorsque Lille, Bordeaux ou Saint-Etienne envoient une équipe bis pour jouer l’Europa ? Les entraîneurs en France privilégient une place dans le haut du tableau en Ligue 1 plutôt qu’un parcours intéressant en Europa League. Dommage pour l’indice UEFA français (source : UEFA.com).
La musique ne fait pas vibrer
Quelque soit l’affiche, lorsque la musique de la Ligue des Champions résonne dans le stade, nos poils se dressent. Les sensations ne sont pas les mêmes lorsqu’il s’agit de l’Europa League. D’ailleurs, on ne la connait même pas.
