Pourquoi Omar Da Fonseca est le meilleur commentateur du monde

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La Coupe du monde de football, c’est l’événement sportif le plus relayé par la scène médiatique. C’est donc l’occasion pour certains joueurs, méconnus du grand public, de démontrer toute l’étendue de leur talent aux yeux de la planète entière.

Mais il en va également de même pour les commentateurs sportifs. Avec le Mondial, beIN Sports a vu son nombre d’abonnés grimper. Nombre d’entre eux ne connaissaient donc pas encore l’Argentin Omar Da Fonseca, qui démontre véritablement, depuis près d’un mois, qu’il est tout simplement le meilleur commentateur du monde.

L’amour sans préliminaires

Si vous êtes passé à côté, cette petite phrase a juste révolutionné le commentaire sportif. C’était sur le but second but de Robben face aux Pays-Bas. Un bijou, une pépite, de l’or en barres.

Ah bon, Da Fonseca est Argentin?

Impartialité n’est pas forcément le terme qui vient le mieux caractériser notre cher Omar. C’est un fervent supporter de l’Albiceleste, et le fait que tous les téléspectateurs le sachent ne le gêne absolument pas. Il n’en a rien à foutre. Pour notre plus grand bonheur.

Gol de di Maria, Argentina – Suiza

 

Gol de Messi, Argentina – Iràn

 

Chanson à la gloire de Diego

Le show a débuté bien avant la CdM

Ne croyez pas qu’il ait attendu que vous vous abonniez pour montrer de quoi il était capable. 18 ans d’expérience dans le métier, il compte une paire d’exploits à son actif.

Usain Bolt a perdu ses prothèses rénales

 

Messi, un câlin?


 

La fièvre du samedi soir


Citations

Terminons par quelques-unes des meilleures déclarations du commentateur de beIN depuis le début de la Coupe du Monde, et apprenez ainsi à mieux connaître son génie.

Un attaquant qui fait un appel vers le poteau de corner, c’est comme un facteur qui ne livre pas le courrier.

Gago il lève la tête, il réfléchit, il lit le journal, et après il passe la balle.

S’il dort bien et qu’il prend un bon petit déjeuner, il peut appuyer sur le bouton à tout moment (à propos de Messi).

Contrôle japonais ou chinois, je ne sais pas (le contrôle de Casillas sur le but de Van Persie).

Vous lui donnez de la mortadelle, ou du saucisson, il vous rend une passe toute propre.

Je vais pouvoir apprécier les facettes de la génialité métaphysique de ce joueur, qui a prouvé le jeu en étant salutationné, les espoirs quasiment grotesque de ce geste qui, en toute honnêteté n’est pas sans mesure (???).