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Quand Longoria jouait à James Bond

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Pablo Longoria (Président de l’Olympique de Marseille) ©IMAGO / ZUMA Wire

L’étrange méthode de Pablo Longoria pour suivre les joueurs

Le nom de Pablo Longoria résonne dans les cercles médiatiques avec une intensité croissante. En effet, mercredi dernier, le président de l’Olympique de Marseille a tenu une conférence de presse d’envergure, dévoilant notamment l’arrivée de Faris Moumbagna et apportant des éclaircissements sur les affaires brûlantes qui animent le club. Cependant, ce n’est pas tout. Pablo Longoria a récemment fait la une du magazine So Foot, accordant une entrevue de 8 pages. Une opportunité rare qui nous permet d’explorer les méandres de l’esprit du dirigeant avant son immersion dans la vie tumultueuse de Marseille.

Au cœur de cette entrevue, une anecdote étonnante émerge, révélant une facette peu connue de Pablo Longoria en tant que fin limier du football. En effet, celui-ci a partagé un épisode insolite de son parcours en tant que scout.

La mission secrète à Buenos Aires

Pablo Longoria se remémore avec humour une escapade peu ordinaire dans la capitale argentine, où il s’était aventuré pour une mission délicate : observer de près Rodrigo Betancur. Pour mener à bien sa tâche, Longoria avait déployé des stratagèmes dignes d’un agent secret, s’immisçant discrètement dans l’intimité des joueurs de Boca Juniors.

Afin d’étudier Betancur dans son environnement naturel, Longoria avait réservé une chambre dans l’hôtel fréquenté par l’équipe de Boca. Sa méthode ? Noter scrupuleusement les habitudes matinales des joueurs, guettant le moment opportun pour observer leurs interactions. Un ballet subtil où chaque détail comptait : des petits déjeuners matinaux aux trajets en ascenseur, rien n’échappait à l’œil du futur président de l’OM.

« J’avais noté à quelle heure les joueurs descendaient prendre leur petit déjeuner, et j’essayais d’être là au même moment pour les observer interagir. Le reste de la journée, je prenais l’ascenseur en boucle du huitième étage au rez-de-chaussée pour être sûr de croiser tout le monde. J’avais prévenu le réceptionniste pour ne pas qu’il me foute dehors (rires). Ça m’a permis de voir, l’espace de vingt secondes, comment Bentancur se comportait avec ses coéquipiers, s’il était plutôt en retrait ou chambreur. »

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