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Benfica bloque le Real Madrid pour sa pépite

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Le Real Madrid ne lâche pas Alvaro Carreras ©Alamy
Le Real Madrid ne lâche pas Alvaro Carreras ©Alamy

Le Real Madrid relance son intérêt pour Álvaro Carreras. Benfica exige 50 M€, refusant les offres inférieures. Les négociations s’enlisent.

Alors que le Real Madrid s’active pour renforcer son effectif, le nom d’Álvaro Carreras refait surface dans les coulisses madrilènes. Le jeune latéral espagnol attise depuis plusieurs mois l’intérêt de la Casa Blanca. L’élimination de Benfica en Coupe du Monde des Clubs, face à Chelsea (1-4), a relancé les tractations. Un accord existerait déjà avec le joueur, selon SPORT. Mais la situation reste bloquée.

Álvaro Carreras : une cible prioritaire pour renforcer la défense madrilène

Le Real Madrid suit Carreras depuis plusieurs mois. Le joueur plaît pour sa polyvalence, son volume de jeu et sa capacité à s’adapter tactiquement. Son profil correspond aux exigences du club : jeune, formé en Espagne et déjà expérimenté sur la scène internationale.

Selon la presse espagnole, un accord de principe a été trouvé entre Carreras et le Real Madrid. Le joueur serait séduit par le projet sportif proposé. Il verrait d’un bon œil un retour dans son pays natal.

Benfica inflexible sur le prix : 50 millions d’euros ou rien

Malgré l’intérêt de Madrid, le club lisboète refuse de céder. Benfica a fixé le prix de Carreras à 50 millions d’euros, correspondant à sa clause libératoire. Une somme jugée excessive par les dirigeants madrilènes.

Le président de Benfica, Rui Costa, a publiquement réagi à la situation. Il a affirmé que le Real Madrid n’a transmis aucune offre officielle. Il les invite désormais à clarifier leur position.

Un précédent inquiétant : le dossier Antonio Silva reste dans les mémoires

Ce n’est pas la première fois que Benfica adopte cette stratégie. En 2023, le club portugais avait agi de la même manière avec Antonio Silva, autre pépite du centre de formation. Une évaluation trop élevée avait alors refroidi les clubs acheteurs.

Cette gestion rigide suscite des tensions internes. Benfica, coté en bourse, subit une pression accrue des actionnaires. Ces derniers s’inquiètent de la perte de revenus potentiels liés aux ventes de joueurs.

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