Le nouveau coach de Lyon, Laurent Blanc, a été dévoilé aujourd’hui, et il s’est exprimé pour la première fois en tant que coach des Gones lors de sa conférence de presse.
Peter Bosz s’en va, Laurent Blanc entre en scène
L’ancien sélectionneur de l’équipe de France s’est exprimé pour la première fois en tant qu’entraîneur de l’Olympique Lyonnais. Lors de sa conférence de presse, il a évoqué son bonheur de rejoindre Lyon, mais a reconnu la réalité de la situation de l’OL en Ligue 1 – qui reste sur cinq matchs sans victoire.
Sur les mauvaises performances de l’OL en Ligue 1:
« Même si on a une vision très bien établie, l’urgence actuelle est de prendre des points, et d’être au top physiquement, mentalement. Ce n’est pas le cas actuellement. Je pense qu’il y a malheureusement des joueurs qui n’arrivent pas à donner l’apport qu’ils devraient apporter à cette équipe. Je parle notamment des joueurs expérimentés. A eux de tirer le groupe vers le haut. Les joueurs confirmés sont ceux qui nous sortiront de cette situation délicate. »
A propos de sa mise en place tactique à Lyon:
« Le football évolue sur les évolutions du système. La vision du football que j’aie n’a pas si changé que cela. On est dans une course contre-la-montre pour chercher des points. S’il y a du beau jeu et des points je serais très content, s’il n’y a que des points je serais content. »
Sur d’autres offres de poste en Europe:
« Dans les deux ans qui ont suivi Paris, j’ai eu des propositions mais je n’étais pas prêt pour repartir. Concernant l’OL, j’ai la chance d’être dans un grand club français, de faire mon métier. Donc je suis très heureux. J’ai une relation particulière avec le président. Même dans mes déclarations d’il y a longtemps, Lyon fait partie des meilleurs clubs français. Je suis surpris de l’environnement du stade, du centre d’entraînement. Dans ces conditions-là, je pense qu’on peut faire du bon travail, il faut juste faire en sorte que dans les semaines à venir, l’équipe soit à la hauteur de ce qu’on lui demande. Ça ne va pas arriver du jour au lendemain, mais avec des échanges, du travail, on peut y arriver. »
